Après ton lourd récit fait de pérégrinations moites de sexe, ta tête se pose contre le radiateur. Dans ce silence saumâtre, tes doux yeux de biche pénètre les miens. Tu as compris que sur ma rétine venait se refléter l’image de Bertrand Canta. Pris d’un frisson, ton corps souple et fin, lentement va se choir vers un endroit moins hostile de la pièce.Il s’en est fallut de peu que ta cervelle ne viennent moucheter mes mur pales. Ne reste plus que le grand silence qui sanglote sur tout ce gachis.